Francital Environnement. La sécurité est une priorité
« Les blessures, lorsqu’elles ne sont pas mortelles, sont souvent irréversibles. Assurer sa sécurité par le biais de ses équipements individuels est essentielle. »
Elagueurs, bûcherons ou sylviculteurs sont des métiers difficiles. Au quotidien, ces professionnels sont en contact avec des éléments dangereux et sujets aux risques d’accidents. Les Equipements de Protection Individuels (EPI), obligatoires dans l’exercice de leurs métiers, doivent palier aux risques et leur permettre de travailler en toute sécurité. Fabricant d’EPI, Francital Environnement, s’appuie sur l’innovation technique pour renforcer la sécurité de ces professionnels.
Interview de Raphaël Dianon, Responsable Commercial, Francital Environnement
Comment l’innovation se met-elle au service de la sécurité ?
Ce sont 250 références conçues et développées par notre bureau d’études en Isère sont fabriquées dans des matériaux techniques et hautement résistants. C’est comme une armure indispensable qui s’adapte également à la morphologie de chacun. Ils habillent de la tête aux pieds les professionnels des forêts et les particuliers. Il s’agit de chaussures, pantalons, salopettes, vestes, manchettes, casques et gants qui parent aux risques de coupures notamment à l’usage de tronçonneuses, débroussailleuses ou taille-haies par exemple. Ces vêtements répondent à la réglementation européennes et aux normes, et sont classés dans la catégorie 3. C’est-à-dire qu’ils sont destinés à la protection contre les risques pouvant entraîner des lésions irréversibles ou mortelles. Par conséquent, la qualité de ces produits et les process de production sont audités chaque année.
Quels sont les risques encourus par les professionnels ?
Les Equipements de Protection Individuels (EPI) sont indispensables pour éviter les coupures, les cisaillements, se protéger les jambes des projections ou franchir une végétation agressive. La législation rend obligatoire la protection en cas d’usage de scie à chaîne tenue à la main. Les accidents sont multiples : une mauvaise manipulation, une erreur d’appréciation… Les métiers de bûcheron et de sylviculteur sont ceux qui connaissent le plus fort taux d’accidents du travail. Par ailleurs, les blessures, lorsqu’elles ne sont pas mortelles, sont souvent irréversibles avec ce type d’engins. C’est pourquoi, assurer sa sécurité est essentielle.
Comment se développe le métier aujourd’hui ?
La France est le premier pays forestier d’Europe, devant l’Allemagne. Le métier se professionnalise, devient plus technique. Par ailleurs, les arbres arrivent de plus en plus en ville, comme à Bordeaux qui a décidé de replanter des arbres pour apporter de la fraîcheur à sa ville lors des fortes chaleurs. Cela nécessite des personnels qualifiés et expérimentés. La demande en vêtements de protection doit suivre avec toujours davantage d’ergonomie, de confort, de résistance et de légèreté. Ce qui nous pousse à être toujours plus performant en la matière.