Bilan carbone : planter des arbres pour réduire son empreinte

Décarboner par la plantation d’arbres

Capteurs de CO2, les arbres sont une des réponses à la réduction de nos bilans carbones. S’il apparaît évident qu’il faut planter en zone urbaines et périurbaines pour capter le CO2 et bénéficier de l’effet climatique des arbres lors de fortes chaleurs, d’autres actions peuvent être mises en œuvre. Spécialiste de la valorisation énergétique et intelligente, comptable de CO2, Nevezus apporte ses préconisations aux industriels et aux collectivités.

Interview  de Joël Tanguy, président fondateur Nevezus

« Comptabiliser son bilan carbone permet de pointer des actions à mettre en œuvre »

Comment le Bilan Carbone influe aujourd’hui sur les stratégies des entreprises ?

Chaque démarche de valorisation ou d’optimisation énergétique intègre aujourd’hui un bilan carbone. On peut croire qu’on a mis en place de bonnes actions, mais si le résultat n’est pas concluant, il faut changer d’approche. L’orientation économique ne suffit pas toujours. Il faut regarder l’aspect environnemental différemment. Dès 2008, je m’intéressais déjà au bilan carbone. C’est pour moi la vraie monnaie de demain. Désormais, les entreprises doivent expliquer et sensibiliser leurs personnels afin de mettre en place une véritable stratégie globale. Il faut expliquer que le dérèglement climatique engendre un dysfonctionnement planétaire. Les augmentations de température provoquent des mouvements de populations, une migration climatique. Il n’est pas encore trop tard pour agir. La jeune génération est sensible aux démarches environnementales des entreprises, et c’est aujourd’hui un argument lors du recrutement qui donne une image positive de l’employeur.

Quelles sont les préconisations possibles ?

Au-delà du bilan carbone, il convient de proposer des pistes d’amélioration. Les industriels peuvent par exemple s’effacer du réseau d’électricité quand la demande est trop forte. Certaines activités peuvent se mettre en veille pour permettre à Enedis de tenir. Le coût carbone des déplacements, domicile – travail et sur les chantiers ou rendez-vous commerciaux, est un nouvel enjeu. Pour autant, il ne suffit pas de suggérer le covoiturage ou les transports en commun, il faut pouvoir répondre aux problématiques qui surviendraient. Nous avons réussi à convaincre une entreprise de prendre en charge le taxi pour les personnes qui utilisent le covoiturage dès lors qu’un problème à l’école exige qu’elles partent rapidement. Prendre en charge le bus ou les vélos électriques participent aussi de la réduction du bilan carbone. Ce sont des habitudes à changer sur le long terme. Le coût élevé du carburant doit nous mettre sur la voie désormais.

Comment l’arbre peut-il contribuer à la décarbonation des activités ?

Evidemment, il faudrait planter en zones urbaines et périurbaines, notamment pour l’effet climatique des arbres sur ces territoires lors des fortes chaleurs estivales. Une tonne de bois équivaut à une tonne de CO2 capté. Mais le bois est vivant. Il faut l’entretenir. Les déchets d’élagage peuvent être valorisés en énergie. Cependant, il faut également mesurer la qualité carbone des transports : alimenter une chaufferie biomasse avec des camions au diesel n’a plus de sens. Par ailleurs, lorsque l’arbre meurt, il ne faut pas l’abandonner mais le valoriser en énergie ce qui peut l’être ou mieux capturer à long terme le CO2 en transformant le bois en habitat, en bardage ou en meuble. INOE ORGEVAL (78) réalise actuellement son Bilan Carbone, avec NEVEZUS, pour réaliser un plan d’investissement bas carbone d’un Pôle d’Excellence bois Ile de France.

Le Bilan Carbone vise 5 objectifs

  1. La diminution de la consommation d’énergie des entreprises.
  2. La réduction de la dépendance aux énergies fossiles (et donc de la vulnérabilité).
  3. La montée en compétences de l’entreprise sur la maitrise de son empreinte carbone
  4. La sensibilisation de vos salariés pour en faire des acteurs à part entière du virage durable entamé par votre entreprise
  5. L’amélioration de l’image de votre entreprise auprès de vos clients, fournisseurs, partenaires, voire du grand public

SACRÉ MAÎTRE JARDINIER 2021

FRANCK SERRA

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DÉCEMBRE 2021

Le jury de l’édition 2021 du Carré des Jardiniers, présidé par Jean Mus, vient de rendre son verdict et de désigner, mercredi 1er décembre, Franck Serra, lauréat de cette compétition. Avec son projet d’exception intitulé Human & Sens, Franck Serra entre dans le cercle fermé des Maîtres Jardiniers et remporte à son tour le titre convoité de « Maître Jardinier 2021 ».

Créé en 2011 dans le cadre du salon Paysalia, le Carré des Jardiniers s’est affirmé, au fil des éditions, comme la reconnaissance suprême du métier et le Maître Jardinier comme son Ambassadeur. Ouvert à tous les professionnels, concepteurs ou entrepreneurs du paysage, installés en France, il traduit la créativité et l’excellence de la filière Paysage.

Plus d’info https://www.carre-des-jardiniers.com/fr

FORMATION & RECRUTEMENT

DES ENJEUX FONDAMENTAUX POUR LA FILIÈRE DU PAYSAGE

La filière du Paysage connaît, en cette année 2021, une belle dynamique. Pour accompagner cette dernière et répondre

aux évolutions du métier, les professionnels du secteur ont besoin de renforcer leurs équipes et de faire monter leurs

collaborateurs en compétences. Formation initiale ou continue et recrutement sont ainsi des enjeux importants de la filière.

Les chiffres clés de la filière Paysage, parus en octobre 2021, confirment le poids économique de la branche du paysage en France

(6,26 milliards d’euros). Cette dernière compte 30 050 entreprises et emploient 109 900 personnes. Cependant, elle a, plus que jamais,

besoin de candidats et peine à embaucher pour répondre à la demande croissante des particuliers et des marchés publics.

Cette difficulté est liée à deux causes principales : les problèmes de qualifications – le « savoir vert » ne s’improvise pas – et l’absence de

candidatures. La filière a besoin d’embaucher, mais ne trouve pas de candidats. Les métiers du paysage restent encore trop méconnus et

mal perçus par les jeunes et les prescripteurs de l’orientation.

Bonne lecture !

Le Championnat du monde individuel de bûcheronnage sportif STIHL Timbersports® fait son grand retour !

Annulé en 2020 du fait de la Covid-19, il retrouve sa place dans le calendrier et aura lieu à huis clos au Motorworld de Munich le samedi 2 octobre.

Les douze meilleurs bûcherons sportifs du moment vont faire feu de tout bois et s’ affronter dans six disciplines à la hache, la scie et la tronçonneuse pour tenter de décrocher la couronne mondiale. Parmi eux, le Corrézien Pierre Puybaret, sextuple Champion de France, vise le podium.

LE JARDIN AU COEUR DE LA CITÉ NOURRICIÈRE DE DEMAIN

Au-delà d’un petit coin de verdure où se ressourcer, se divertir ou se reposer, les Français aspirent aujourd’hui, notamment en périphérie urbaine ou en cœur de ville, à jardiner et à cultiver leur potager individuel ou collectif. La Cité du XXIe siècle se veut nourricière tant pour le corps, que pour l’esprit. Les jardins et l’agriculture urbaine se développent sur la base d’initiatives locales et d’incitations de l’Etat. Ces enjeux primordiaux pour les villes aujourd’hui et de demain sont au cœur des thématiques présentes sur Paysalia, notamment à l’occasion du programme de la journée ville verte, prévue le jeudi 2 décembre prochain. La 6è édition du Carré des Jardiniers, concours emblématique de la filière Paysage, et son thème : “le jardin du (bon) vivant” font aussi écho, cette année, à cette dimension fertile, nourricière et épicurienne du jardin.

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Salon Patrimoine

Le Patrimoine, c’est généreux et ouvert à tous ! Le Patrimoine ce sont des hommes et des femmes engagés au quotidien pour faire vivre les trésors de notre culture et de nos territoires : restaurer, conserver, transmettre, durer. C’est ainsi que 316 exposants se préparaient en vue de la prochaine édition du Salon International du Patrimoine Culturel, pour ce grand rendez-vous annuel de tous les acteurs et passionnés du Patrimoine au Carrousel du Louvre.

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webinaire, quelle vision l’arboriculture d’ornement ?

Nous sommes à 4 jours du lancement de notre année d’information sur les thèmes de l’arbre d’ornement, de son entretien et de sa gestion. L’arbre dans une vision globale pour mieux comprendre son intégration dans nos #villes !
Inscrivez vous il est encore temps !
Vous retrouverez Manon FRÉDOUT qui anime ce débat, cette discussion et Bruno Le Dû qui sera mon répondant dans cette première ou notre idée est de poser le paysage de l’arbre ou l’arbre dans le paysage ! Faire un point d’étape pour avancer vers des acteurs, futurs intervenants, qui répondrons au fil des mois à l’ensemble des questionnements qui existent aujourd’hui alors que la place du végétal reviens en première ligne des préoccupations de citoyens tout autant que des acteurs territoriaux.
Venez à notre rencontre !

L’innovation au service des équipements de sécurité

Francital Environnement. La sécurité est une priorité

 

« Les blessures, lorsqu’elles ne sont pas mortelles, sont souvent irréversibles. Assurer sa sécurité par le biais de ses équipements individuels est essentielle. »

 

Elagueurs, bûcherons ou sylviculteurs sont des métiers difficiles. Au quotidien, ces professionnels sont en contact avec des éléments dangereux et sujets aux risques d’accidents. Les Equipements de Protection Individuels (EPI), obligatoires dans l’exercice de leurs métiers, doivent palier aux risques et leur permettre de travailler en toute sécurité. Fabricant d’EPI, Francital Environnement, s’appuie sur l’innovation technique pour renforcer la sécurité de ces professionnels.

Interview de Raphaël Dianon, Responsable Commercial, Francital Environnement

Comment l’innovation se met-elle au service de la sécurité ? 

Ce sont 250 références conçues et développées par notre bureau d’études en Isère sont fabriquées dans des matériaux techniques et hautement résistants. C’est comme une armure indispensable qui s’adapte également à la morphologie de chacun. Ils habillent de la tête aux pieds les professionnels des forêts et les particuliers. Il s’agit de chaussures, pantalons, salopettes, vestes, manchettes, casques et gants qui parent aux risques de coupures notamment à l’usage de tronçonneuses, débroussailleuses ou taille-haies par exemple. Ces vêtements répondent à la réglementation européennes et aux normes, et sont classés dans la catégorie 3. C’est-à-dire qu’ils sont destinés à la protection contre les risques pouvant entraîner des lésions irréversibles ou mortelles. Par conséquent, la qualité de ces produits et les process de production sont audités chaque année.

Quels sont les risques encourus par les professionnels ? 

Les Equipements de Protection Individuels (EPI) sont indispensables pour éviter les coupures, les cisaillements, se protéger les jambes des projections ou franchir une végétation agressive. La législation rend obligatoire la protection en cas d’usage de scie à chaîne tenue à la main. Les accidents sont multiples : une mauvaise manipulation, une erreur d’appréciation… Les métiers de bûcheron et de sylviculteur sont ceux qui connaissent le plus fort taux d’accidents du travail. Par ailleurs, les blessures, lorsqu’elles ne sont pas mortelles, sont souvent irréversibles avec ce type d’engins. C’est pourquoi, assurer sa sécurité est essentielle.

Comment se développe le métier aujourd’hui ? 

La France est le premier pays forestier d’Europe, devant l’Allemagne. Le métier se professionnalise, devient plus technique. Par ailleurs, les arbres arrivent de plus en plus en ville, comme à Bordeaux qui a décidé de replanter des arbres pour apporter de la fraîcheur à sa ville lors des fortes chaleurs. Cela nécessite des personnels qualifiés et expérimentés. La demande en vêtements de protection doit suivre avec toujours davantage d’ergonomie, de confort, de résistance et de légèreté. Ce qui nous pousse à être toujours plus performant en la matière.

https://www.francital.com/fr/

Stihl, la performance au service de la sécurité

Interview de 
Jean-Noël Raunaud
Responsable du service prescription et demonstration
STIHL

Améliorer la productivité des élagueurs, bûcherons et professionnels du bois tout en assurant leur confort et leur sécurité,tel est l’enjeu de Stihl, entreprise fondée en 1926 à Stuttgart en Allemagne.Le fabricantde tronçonneuses thermiques et électriques à destination des particuliers et des professionnels met un point d’honneur à développer des produits toujours innovants.

Comment les tronçonneuses facilitent-elles aujourd’hui le travail des professionnels du bois ? 

Depuis 1926, l’objectif de Stihl est d’améliorer le confort de travail de ces professionnels du bois. Durant des décennies, c’est grâce aux évolutions des outils que le métier a évolué. Ils sont plus performants, plus confortables d’utilisation, plus légers et permettent d’améliorer la productivité des professionnels. Stihl a été le premier fabricant à lancer une tronçonneuse électrique. En 2018, elle a égalementlancé la toute première tronçonneuse au monde à moteur à injection. Une véritable révolution pour un moteur à deux temps, qui apporte un nouveau confort en matière de rapport poids puissance. En une journée de travail, le professionnel va pouvoir couper davantage de bois et améliorer son rendement horaire. Ce n’est pas négligeable pour une profession qui reste très physique.

Quels sont les atouts des tronçonneuses électriques par rapport aux tronçonneuses thermiques ? 

Les deux sont totalement complémentaires. Elles n’ont pas le même usage. Pour l’élagueur ou le professionnel du jardin, la tronçonneuse à batteriediminuera lesnuisances sonores,les vibrations, apportera plus de confort et plus de facilité de mise en œuvre. Pour unélagueur qui travailleà 25 ou 30 mètres de haut dans un arbre, la légèreté d’une tronçonneuse à batterie est un atout décisif. Pour autant, pour un travail d’abattage, rien ne sera plus utile qu’une tronçonneuse à moteur thermique, plus puissante. Nous sommes convaincus que la part de l’électrique sera plus importante dans les années à venir, cependant ces appareils ne pourront pas se substituer totalement aux moteurs thermiques.

Quelles seront les prochaines innovations ?

Stihl est constructeur de moteurs.Nous fabriquons ainsi plus de 60 % des composants de nos machines et continuons d’investir sur les appareils à moteurs thermiques. L’enjeu est de les rendre encore plus propres, plus économes encarburant et plus performants. Parallèlement, nous avons énormément investi depuis dix ans sur la technologie des moteurs à batteries. Par ailleurs, une part importante des innovations concernela sécurité de nos matériels. Stihl a été le premier fabricant à doter ses tronçonneuses defreins de chaîne, ce qui estaujourd’hui devenulanorme. En France, STIHL distribueenviron 250.000 tronçonneuses par an, et commercialise environ 800.000 machines pour l’entretien des parcs et jardins. Car Stihl s’est diversifié dès les années 80 dans les débroussailleuses, taille-haies, souffleurs… Et les produits dédiés aux particuliers, revendus chez les revendeurs spécialisés ou en magasinde bricolage, bénéficient de la même exigence que les produits professionnels. La performance, simplement, est différente, selon qu’il s’agit d’un usage saisonnier ou quotidien. Quoiqu’il arrive, le but est de proposer des équipements faciles à utiliser, performants et sécurisés afin d’améliorer le travail quotidien des professionnels du bois et du paysage comme des particuliers

« Nos clients, lescollectivités, nous demandent de plus en plus de travailler à l’électrique »

« Pour notre parc machines, d’environ 45 équipements, nous sommes passés à du 100 % Stihl depuis 15 ans. Tronçonneuses, mais aussi taille-haies, débroussailleuses… toute la gamme en fait. Parce que nous sommes fidèles à nos revendeurs mais surtout pour l’accès aux pièces détachées, la fiabilité, l’ergonomie et la facilité d’utilisation. Nous avons testé d’autres marques pour des machines équivalentes avant, mais Stihl a retenu notre attention. Depuis huit ans, nous avons également commencé à travailler avec des matériels à moteur électrique. Nous étions réticents au départ, comme tous les professionnels. Mais finalement, c’est une bonne option notamment pour la taille japonaise qui nécessite des matériels silencieux et moins puissants. Les collectivités ou des écoles par exemple nous demandent de plus en plus de travailler à l’électrique, pour des questions d’écologie et de réduction des nuisances sonores. D’ailleurs, chez Stihl, la puissance électrique commence à rattraper la puissance thermique. »

Benjamin Perrière, gérant de Arbre en Ciel à Conflans-Saint-Honorine

 

 

https://www.stihl.fr/

Arbres urbains, parcs et jardins. Tailler les arbres sans les blesser

Interview de Thierry Boular
Préseident
Coup’Eco

Que ce soit en ville, dans les parcs urbains ou les jardins de châteaux, la taille des arbres est un acte nécessaire mais qui doit aussi se faire dans le respect du végétal et de la nature. Depuis 1998 à Pons, en Charente-Maritime, Coup’Eco conçoit, fabrique et commercialise des équipements de tailles qui favorisent la repousse des arbres et des haies. Entretien avec Thierry Boulard, Président du Directoire.

Qu’est-ce qui anime Coup’Eco depuis sa création ?

Il y a un peu plus de 20 ans, nous étions trois dans l’entreprise qui possédait déjà un bureau d’études de conception d’équipements de taille mécanique pour les professionnels. La principale caractéristique de nos outils, qui n’a pas déviée de son ambition depuis 20 ans, c’est de réaliser des coupes franches et nettes des arbres, branches et haies dans le respect de la nature. En évitant ainsi le broyage, on favorise la cicatrisation et la repousse est plus belle. Cela a pour effet d’améliorer la qualité paysagère et de favoriser l’entretien des espaces verts. Notre mission est également de proposer des outils qui permettent de réduire la pénibilité des professionnels et de leur faire gagner du temps et du confort dans leur travail. Depuis presque 25 ans, c’est grâce à l’écoute du client et de ses besoins que nous concevons et fabriquons des solutions techniques et technologiques performantes. Nos clients, sur le terrain, sont une source d’inspiration. D’ailleurs, grâce à cela, nous sommes aujourd’hui 22 collaborateurs et réalisons 23 % de notre chiffre d’affaires à l’export : dans les DOM-TOM, en Europe, ainsi que le grand export : en Australie, Chine et Chili par exemple.  

Quelles sont les caractéristiques techniques de vos produits ?

Nous développons des équipements dédiés, dotés de lames de scie ou de plateaux à couteaux à grande vitesse de rotation pour une coupe nette de la branche, pour quatre domaines d’activités. L’entretien des routes, l’arboriculture, les espaces verts et le grand élagage. Pour l’entretien des routes, nous nous appuyons sur les fabricants de faucheuses ou débroussailleuses pour proposer des équipements complémentaires à leurs machines, comme des lamiers grands formats. C’est le cœur de métier de Coup’Eco. Fort de notre savoir-faire, nous avons développé des outils pour tracteurs à destination des professionnels des espaces verts, des collectivités et des campings, afin de tailler les haies d’ornement. Nos tailles-haies  peuvent couper jusqu’à 5 mètres à l’horizontal et 7 mètres à la verticale. Dotée d’une grande souplesse d’utilisation, la mise à niveau du lamier se fait automatiquement, même si la zone d’évolution du tracteur n’est pas régulière. Pour les opérateurs, c’est un vrai confort de travail pour des missions qui se sont faites longtemps manuellement.

Quelles sont les solutions pour les petits espaces ou les lieux difficilement accessibles, notamment en ville ?

Nous avons conçu une machine automotrice unique sur le marché, (CELEST 250) pour tous les paysagistes qui ne possèdent pas ou ne peuvent pas posséder de tracteurs. Pilotée comme une tondeuse, cette machine est facilement transportable et permet l’accès aux terrains étroits, sans laisser de marque sur la pelouse. Idéale pour les parcs, les châteaux, les campings. Pour le grand élagage en zone urbaine et la taille architecturée, nous avons également développé des machines dédiées, qui permettent de passer sur le trottoir, entre les arbres et les habitations. Mesurant 1 mètre de large seulement, ces machines possèdent des bras télescopiques permettant de monter les lames à 9 mètres de haut. Ces équipements entretiennent déjà les Champs-Elysées, le parc de Versailles, les grandes avenues de grandes villes telles que Bordeaux ou Nantes.

http://www.coupeco.com/